Publié le 06-03-2018
Roucaute et Eleyes -Mardi 25 août 2009-Festival de la Médina -
Le mardi 25 août 2009, la soirée du Festival de la Médina est dédiée au Jazz poétique avec Roucaute et Eleyes .
"Sont frère de la même mer" est le nom du spectacle présenté par Roucaute et Eleyes au théatre municipal de tunis, le mardi 25 août.
Synopsis :
sont frères
…entre eux, c’est une histoire d’amitié et de complémentarité. Quand le musicien et l’auteur, le compositeur et le poète mettent leur travail en commun, l’évidence les frappe : la guitare,
la voix, le oud, le français, l’arabe, la musique, le récit, les notes, les mots se répondent avec une grâce et une évidence rares. Alors qu’importe si on est issu de cultures différents et si on
a grandi d’un côté ou l’autre de la Méditerranée, on ressucite le temps où elle n’était pas un obstacle mais un trait d’union entre les peuples.
…entre eux, c’est une histoire d’amitié et de complémentarité. Quand le musicien et l’auteur, le compositeur et le poète mettent leur travail en commun, l’évidence les frappe : la guitare,
la voix, le oud, le français, l’arabe, la musique, le récit, les notes, les mots se répondent avec une grâce et une évidence rares. Alors qu’importe si on est issu de cultures différents et si on
a grandi d’un côté ou l’autre de la Méditerranée, on ressucite le temps où elle n’était pas un obstacle mais un trait d’union entre les peuples.
de la même mer
“c’est la frontière, la grande barrière, l’eau de la rivière, l’eau de l’océan Le vent du désert barbelé de fer, qui déchire les fers, qui aspire le sang ô, bienvenu à toi qui as suivi la route ô bienvenu à toi qui as dominé ta peur Tu n’as pas cédé, tu n’as rien lâché, tu as gagné ta vie contre la peur, la peur, la peur, la peur…”
“c’est la frontière, la grande barrière, l’eau de la rivière, l’eau de l’océan Le vent du désert barbelé de fer, qui déchire les fers, qui aspire le sang ô, bienvenu à toi qui as suivi la route ô bienvenu à toi qui as dominé ta peur Tu n’as pas cédé, tu n’as rien lâché, tu as gagné ta vie contre la peur, la peur, la peur, la peur…”
