Slim Riahi sort du silence et balance

Le journal Al-Sabah a publié le contenu de la première session du procès de l'homme d'affaires Salim Riahi devant un tribunal grec.

L’homme d’affaire Slim Riahi avait assisté à la séance, accompagné d'avocats étrangers et il s'est opposé à la demande d'expulsion vers la Tunisie, soulignant que la peine prononcée à son encontre en Tunisie, qui purge une peine de 11 ans de prison, est un '' acte politisé ".

Ce dernier a clairement indiqué qu'un ancien chef du gouvernement contrôlait le pouvoir judiciaire et qu'il était également à l'origine de son implication.

Et il a dit : « Le juge en chef », c'est-à-dire Al-Tayeb Rached, le premier président de la Cour de cassation, selon l'article, est celui qui a trafiqué son dossier et l'a empêtré.

De son côté, la justice grecque a décidé de le laisser en liberté moyennant une caution financière. Il a également été placé en résidence surveillée, et une deuxième session a été fixée pour son procès la semaine prochaine.
 

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