Publié le 06-03-2018
Chirurgie esthétique : la beauté au bistouri
Oreilles décollées, poches soues les yeux, double menton, nez long ou épaté, c’est vrai que cela constitue une souffrance pour la personne concernée. Et la laideur peut entraîner un terrible mal de vivre. Mais là où la question se pose, c’est quand la personne est assez jolie mais décide quand même de passer sur le billard pour en sortir moche !
Oreilles décollées, poches soues les yeux, double menton, nez long ou épaté, c’est vrai que cela constitue une souffrance pour la personne concernée. Et la laideur peut entraîner un terrible mal de vivre. Mais là où la question se pose, c’est quand la personne est assez jolie mais décide quand même de passer sur le billard pour en sortir moche !
Augmentation mammaires, liposuccion, lipoaspiration, rhinoplastie, lifting, le bistouri ne fait plus peur, et le botox se fait de plus en plus d’ami(e)s . D’ailleurs pour les stars, cela s’avère parfois une nécessité si elles veulent décrocher un rôle ou signer un album.
Pourtant, elles ont souvent le visage figé, et ce n’est pas toujours beau à voir. Parfois, on a même l’impression de regarder une machine faciale. Il n’empêche que le marché ne cesse de croître et la quête de la perfection physique passe du mythe à la réalité. Ce n’est plus un caprice de stars, mais une lubie que se permet les gens issus d’un milieu plus ou moins aisé.
Oreilles décollées, poches sous les yeux, double menton, nez long ou épaté, c’est vrai que cela constitue une souffrance pour la personne concernée. Et la laideur peut entraîner un terrible mal de vivre. Mais là où la question se pose, c’est quand la personne est assez jolie mais décide quand même de passer sur le billard pour en sortir moche !
À vrai dire, tout le monde (ou presque) attache une importance à son apparence et son physique. Mais il faut avouer que changer de nez, de lèvres, ou de seins, n’est pas une décision facile à prendre. Le problème, c’est que certaines personnes hésitent lors de la première opération, mais ensuite, elles ne peuvent plus arrêter. On cite notamment le cas de la majorité des stars libanaises qui font presque toutes le même parcours: moche- belle-moche. On se demande s’il s’agit-il d’une insatisfaction permanente ou d’une quête de la beauté fatale?